"J’ai plus de souvenirs que si j’avais mille ans. Un gros meuble à tiroirs encombré de bilans, de vers, de billets doux, de procès, de romances, avec de lourds cheveux roulés dans des quittances. Cache moins de secrets que mon triste cerveau." Baudelaire
Tu suscites les encouragements, c'est plutôt positif. maintenant tu sais qu'un réseau social est la plupart du temps un peu comme la couverture d'un livre (et ses crédits) c'est donc tout naturellement qu'on a envie d'avoir féebrile dans sa fanpage,il n'y a rien de surprenant à vouloir suivre ton actualité. Mais peut-être que Toi, Isabelle, t'impliques-tu personnellement(lire émotionnellement) dans cette page au point de ne plus savoir réellement où est la limite entre vous-deux.. Oui je sais, il n'y en a pas :(
Cet article m'a touché, car c'est sans doute le sentiment qui prédomine chez moi. Cette espèce de cassure, comme la sensation d'être un objet défectueux, qui n'arrive pas à comprendre et à se remplir de ce que le monde à a offrir, ou bien si peu. Une barrière d'incompréhension qui se dresse entre les autres&moi, et qui m'empêche d'être heureuse. Une fatigue, une lassitude incroyables devant la banalité, devenue laideur du monde.
4 commentaires:
Je viens dans ta ville alors! Comme ça on se sentira moins seule!
Les loups dans la ville... Cela me ramène à un de mes films préférés, Wolfen.
Mais leur but était bien différent dans le film.
J'imagine alors plutôt des loups dévorant les défauts et les imperfections (le prédateur est censé améliorer la proie).
Ma métaphore me mène trop loin. Si je suis un loup chez les lions, je serai un loup non-violent.
Tu suscites les encouragements, c'est plutôt positif. maintenant tu sais qu'un réseau social est la plupart du temps un peu comme la couverture d'un livre (et ses crédits) c'est donc tout naturellement qu'on a envie d'avoir féebrile dans sa fanpage,il n'y a rien de surprenant à vouloir suivre ton actualité. Mais peut-être que Toi, Isabelle, t'impliques-tu personnellement(lire émotionnellement) dans cette page au point de ne plus savoir réellement où est la limite entre vous-deux..
Oui je sais, il n'y en a pas
:(
Cet article m'a touché, car c'est sans doute le sentiment qui prédomine chez moi. Cette espèce de cassure, comme la sensation d'être un objet défectueux, qui n'arrive pas à comprendre et à se remplir de ce que le monde à a offrir, ou bien si peu. Une barrière d'incompréhension qui se dresse entre les autres&moi, et qui m'empêche d'être heureuse. Une fatigue, une lassitude incroyables devant la banalité, devenue laideur du monde.
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