L'amour, le bonheur, c'est un peu comme des fantômes (le côté niais en plus). Il y a quelques personnes qui en ont vu et qui vont répandre la rumeur de leur existence, alors les autres y pensent, ouvrent les yeux bien grand la nuit et sursautent au moindre bruit, mais même s'ils y croient ce n'est pas pour ça qu'un (vrai) fantôme va apparaitre. Il n'y a rien de juste ou de logique là dedans. Tu attends, tu attends, et au final tu prends le premier truc suspect pour un fantome. Ton fantome. Ton vampire d'énergie. Et t'es cuit.
mardi 8 septembre 2009
J'aimerais effacer les gens, comme dans eternal sunshine
L'amour, le bonheur, c'est un peu comme des fantômes (le côté niais en plus). Il y a quelques personnes qui en ont vu et qui vont répandre la rumeur de leur existence, alors les autres y pensent, ouvrent les yeux bien grand la nuit et sursautent au moindre bruit, mais même s'ils y croient ce n'est pas pour ça qu'un (vrai) fantôme va apparaitre. Il n'y a rien de juste ou de logique là dedans. Tu attends, tu attends, et au final tu prends le premier truc suspect pour un fantome. Ton fantome. Ton vampire d'énergie. Et t'es cuit.
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2 commentaires:
La vraie solitude
Quand j'étais petit, je détestais courir.j'étais pas mauvais en vitesse mais je me fatiguais assez vite.j'avais vers treize ans quand au bout de 800m à une course d'endurance; je me suis arrêté à bout de force au bord de cracher le coeur avec un horrible goût de sang dans la bouche. J'ai les pieds plats, des semelles orthopédiques et les jambes archées, et une récente opération du ménisque.Bref, pas le candidat idéal; d'autant que courir n'a jamais été à la mode. C'est vers 26 ans, avec l'activité parisienne que j'ai commencé à en avoir envie..la sensation de liberté peut-être. Je dirais qu'elle a suivie le paris que je m'étais fixé. Je me suis battu pour avoir des diplômes qui ne m'ont servi a rien et j'ai décidé de tout recommencer à zéro..et tenter ma chance à Paris.
Courir a été pour moi une étrange façon de vaincre mes démons..je n'avais alors jamais eu la moindre confiance en l'image que je donnais aux autres. Alors un dialogue silencieux se crée, on sait en matière de séduction ou de théatre se qu'est le language du corp.Mais cette entente en tête à tête, c'est la vraie solitude, hors des regards.Je sens à chaque fois le temps qui rallenti jusqu'à l'instant où tout deviens comme une mécanique bien huilé, on n'a plus à fournir le moindre effort jusqu'à une lente monotonie. Là on sait ce que veux dire avoir les reins, le dos, la tête bien droite, les épaules basses; en fait l'allure idéale.., sinon, les courbatures vous rattrape de toute façon. Attention; je ne donne de leçon de morale ou de coaching à personne, c'est juste mon expérience personnelle. j'ai trouvé comment gérer mon équilibre et évacuer le reste..les idées deviennent claires, les sentiments remplacent les émotions.
Comme on doit surement te le rabacher, tu es jeune et pas beaucoup de bagage.Donne toi cette chance de construire ta vie car le talent sans audace ne sert à rien.Essaye peut-être aussi de contrôler tes émotions et ton besoin de vérité transparente..;parfois le chemin n'est pas si limpide où aussi pure qu'on le souhaite.
Salutations
Personne n'est obligé de se laisser porter par l'océan et de subir de creux des vagues. On peut aussi nager, et aller ailleurs. Moi je crois que le bonheur, c'est être en harmonie avec soi-même et ne pas vouloir être quelqu'un d'autre. Et puis, peut être aussi se détacher de toutes les obsessions qui nous rongent et se rendre l'esprit léger, et insouciant, même s'il faut un peu se forcer.
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